Cette fois, le hasard et la chance n’ont pas suffi. La Juventus est humiliée à Naples, c’est 5-1

Cette fois, le hasard et la chance n’ont pas suffi.  La Juventus est humiliée à Naples, c’est 5-1
NAPLES, ITALIE – 12 OCTOBRE : Khvicha Kvaratskhelia du SSC Napoli lors du match du groupe A de l’UEFA Champions League entre le SSC Napoli et l’AFC Ajax au Stadio Diego Armando Maradona le 12 octobre 2022 à Naples, en Italie. (Photo de Francesco Pecoraro/Getty Images)

La grande beauté. Avec Spalletti comme Sorrentino, il a donné à l’équipe une direction oscarisée, avec Osimhen qui, comme Jep Gambardella, avait la capacité de faire dérailler toutes les ambitions de retour de ses adversaires. Il n’y a qu’une seule équipe en charge de la Serie A et ce soir au stade Maradona, on a compris pourquoi – après 18 matches de championnat – il y a une différence de dix points entre Naples premier au classement et la Juve (pour l’instant) deuxième. Plus d’équipe, plus impitoyable, simplement plus forte : l’équipe de Spalletti a balayé le match contre celle d’Allegri. Il marquait et marquait un show, il faisait briller ses meilleures stars lors de la soirée la plus importante.

C’était la nuit de Victor Osimhen et Khvicha Kvaratskhelia. Le premier, le meilleur buteur de Serie A, a dominé le duel avec Bremer, enlevant toutes ses certitudes au Brésilien. A l’antenne, sur le long ballon, en un contre un : Osimhen a remporté tous les duels. Le Nigérian a débloqué le match à la 14e minute avec un tap-in puis l’a clôturé avec une tête à la 65e minute. Au milieu, la passe décisive de l’autre grand protagoniste de la soirée de Maradona : Kvara – un but, une passe décisive et de nombreux jeux – a ignoré les critiques après le but momentané du 2-0, a fait taire les gémissements avec son doigt devant la bouche et est retourné à faire le Kvara habituel. Ce qui en deux mois a changé toutes les perspectives de Naples.

Ça s’est terminé 5-1, ça aurait aussi pu finir avec un résultat plus large. Pourtant, la Juventus était de la partie en première mi-temps. Après que Di Maria ait touché la barre transversale à la 21e minute, il a mené le match pendant un quart d’heure puis dans la dernière partie de la fraction – après le but Fidéo – a même frôlé l’égalisation. Mais aujourd’hui contre ce Naples il faut être parfait et la Juventus d’Allegri surtout en phase défensive ne l’a pas été. Non seulement il a perdu son invincibilité après 680 minutes, mais il l’a fait de la pire des manières. Avec une performance défensive embarrassante, Bremer étant le pire sur le terrain.

Napoli a montré la plus belle version de lui-même ce soir. Au premier tour, il s’est imposé au San Siro contre Milan et a été balayé au Maradona contre la Juventus. Il a battu les deux rivaux les plus directs et a montré que la défaite face à l’Inter lors de la reprise des hostilités n’était qu’un contretemps. Le seul d’un voyage extraordinaire. Il le ramène Prolongation TMW

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La Nazione écrit : « L’entourage de la Fiorentina et de Nico Gonzalez dément les secousses de janvier »

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