Selvaggia Lucarelli taquine Giorgia Meloni pour le maquillage et les réseaux sociaux crient au body shaming

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Au centre du ‘scandale’ une blague du journaliste sur le fard à paupières du leader de la Fdi



« Meloni a dépoussiéré le trousseau Deborah de 1985 ». Un post, celui de Selvaggia Lucarelli sur Instagram, qui a déclenché une véritable tempête sociale, avec des milliers de commentaires ahuris et indignés d’internautes et des accusations de body shaming. Le journaliste a publié le commentaire l’accompagnant d’une photo sur laquelle le leader des Frères d’Italie Giorgia Meloni apparaît avec un fard à paupières rose pailleté, provoquant immédiatement les réactions surprises des internautes. « Commentaire vraiment inutile et injuste, puis fait par une autre femme, ça fait mal ! », écrit quelqu’un.

« Cher Selvaggia, tu as vraiment fait une grosse chute de style, toi qui t’es toujours battu contre le harcèlement », écrit un autre. « Meloni et moi n’avons presque rien en commun, mais une femme a le droit de se maquiller comme elle veut sans être l’objet de moqueries publiques », ajoute une fille. Les accusations de body shaming affluent sur l’adresse internet du journaliste. « On parle beaucoup de body shaming, pas pour offenser les femmes pour la façon dont elles s’habillent, se maquillent… eh bien, faisons-le alors », écrit une internaute. A quoi un autre fait écho : « Nous nous sommes tous levés à juste titre pour défendre les cheveux de Botteri ou la robe de Bellanova, mais pouvons-nous nous moquer de Meloni parce qu’elle a fait le mauvais fard à paupières ?! ».

Selvaggia Lucarelli se défend, son copain intervient

Aux accusations, Lucarelli a répondu : « Les frères d’Italie se foutent des migrants, des gays qu’ils ne devraient pas adopter, des électeurs et des membres de la classe dirigeante nostalgiques du fascisme, des petits frères d’Italie en prison pour la ‘Ndrangheta sensible aux PAILLETTES ». Et encore : « Ils s’offensent si vous dites que leur chrétienne-mère-leader est aussi scintillante. Une offense innommable. Une blessure incurable. qu’elle portait hier à la télé ne dort pas d’un clin d’oeil. »

Son compagnon, le chef Lorenzo Biagiarelli, intervient également en « défense » du journaliste. En réponse à un internaute, qui écrit « Pour un regain de sympathie similaire il y a ceux qui ont fini en analyse », Biagiarelli répond en ne mettant pas de vêtements mouillés sur le feu : « Ah oui, des salles d’attente de psychologues pleines de chefs de partis fascistes 40 -ans avec 20% pour une blague sur le fard à paupières pailleté. Le fléau du siècle », écrit-il sèchement.


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