« Sur le marché, nous n’avons pas ajouté mais seulement remplacé ». ça manque de qualité

« Sur le marché, nous n’avons pas ajouté mais seulement remplacé ».  ça manque de qualité
Florence, stade A.Franchi, 10.10.2022, Fiorentina-Lazio, photo Lisa Guglielmi. Copyright Labaroviola.com

Néanmoins Vincenzo Italiano avait-il dit, c’était le 13 août, la veille de Fiorentina-Cremonese et le technicien de l’alto avait prévenu tout le monde lors de la conférence de presse : « On n’a pas ajouté mais on a remplacé ceux qui sont partis » dit l’entraîneur. Alors le seul viendrait Barack, un joueur qui a ajouté des caractéristiques différentes à celles présentes au milieu de terrain mais qui fondamentalement, à l’épreuve des faits, a remplacé Castrovilli, un joueur que, par rapport à la saison précédente, la Fiorentina n’a en fait plus. Au moins jusqu’en janvier.

Ces mots, après deux mois de championnat, étaient prophétiques. La Fiorentina n’a rien ajouté au marché, elle a simplement remplacé ceux qui sont partis. Jović a en fait remplacé le centre de l’attaque Vlahovic après le flop Cabral, Dodo remplacé Odriozola, Gollini remplacé Dragowski, Barack remplacé Castrovilli, Mandragore remplacé Torreira. Même le même Kouaméqui à la fin du marché est resté à Florence, a en fait remplacé Callejonlibéré à l’expiration du contrat.

Mais le grave problème de cette Fiorentina reste le département offensif, l’équipe violette ne joue pas mal, loin de là. Il essaie d’imposer son propre jeu et très souvent il y parvient, se crée plusieurs occasions de but mais ne parvient pas à finaliser autant qu’il le devrait. Les joueurs offensifs présents dans l’effectif n’ont pratiquement jamais autant marqué dans leur carrière, puisque Sottil à Ikonè, jusqu’à Jovic et Kouamè, finissant pour Nico Gonzalez. Aucun d’entre eux, sauf en de rares occasions, voir Jovic en une seule saison en Allemagne, n’a atteint le double des buts marqués en jeu ouvert.

Vous ne faites pas le saut dans la qualité sans joueurs de qualité. Ici, l’essentiel est ici. Après le miracle de la saison dernière, surtout à partir de janvier en place après la vente de Vlahovicla Fiorentinafort aussi de cette collection, il aurait dû sérieusement se renforcer, avec de vrais joueurs de grand niveau technique. Au lieu de cela, ce n’était pas comme ça. Plusieurs bons joueurs sont arrivés mais rien à voir avec le saut qualitatif qui était attendu dans l’ensemble. Cela ne veut pas dire que ceux qui sont arrivés ne sont pas à la hauteur, car Dodo ça reste un énorme coup dur, mais pour le Fiorentina il en faut bien plus.

A cela s’ajoute un coach comme Italien qui gère le double engagement hebdomadaire pour la première fois de sa carrière. Jouer tous les 3 jours est complètement différent de jouer une fois par semaine, il fallait aussi qu’il comprenne certaines choses. Mais c’est normal qu’il en soit ainsi, étant donné que c’est un jeune entraîneur, que a commencé la troisième année en Serie A et se rapproche de l’engagement européen pour la première fois.

Bref, c’est possible de sortir de la crise, c’est possible car la Fiorentina a montré que c’est une équipe vive, mais certaines erreurs doivent faire école. La Naples pancarte. Vous pouvez vendre le plus fort ou le plus fort, vous pouvez encaisser mais le plus important est de savoir comment les millions sont réinvestis. A ce jour, les faits disent que le club n’a pas violé ce saut qualitatif, au contraire, l’équipe semble plus faible qu’il y a un an.

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