Le Japon envoie l’Allemagne en enfer, gagne en retour pour 1-2. L’histoire de l’entreprise

Le Japon envoie l’Allemagne en enfer, gagne en retour pour 1-2.  L’histoire de l’entreprise

La Coupe du monde allemande commence sans groupe OneLove au bras de Neuer, mais aussi sans victoire. Au Khalifa International Stadium de Doha, à la surprise générale, le Japon a remporté le match qui ouvre le groupe E de la Coupe du monde Qatar 2022 sur un score de 2 à 1. Les buts de Ritsu Doan et Takuma Asano en seconde période ont annulé le penalty transformé par Ilkay Gundogan. dans la première moitié du match.

Les tentatives désespérées de l’équipe nationale allemande en finale n’ont servi à rien : belles et trop amoureuses d’elles-mêmes, la sélection emmenée par Hansi Flick a dominé le match pendant plus d’une heure, se reflétant avant tout dans ses qualités techniques indiscutables, supérieures à celles du Samouraï Bleu. Mais au final, même avec les changements, c’est le Soleil Levant qui se lève sur Doha : le Japon gagne, et aussi avec mérite compte tenu de la seconde mi-temps disputée par les deux équipes nationales. Pour l’Allemagne, désormais, le chemin vers les huitièmes de finale devient plus compliqué que prévu : en attendant le croisement entre le Costa Rica et l’Espagne, après l’Argentine, la Coupe du monde connaît une autre excellente chute.

Le cas de la bande. Avant ce qu’était la course, en effet, quelques lignes sur ce qui s’est passé à l’intérieur. Manuel Neuer, pratiquement jamais encadré par le directeur international, a choisi de ne pas porter le brassard OneLove, interdit par la FIFA, pour éviter un carton jaune, lui préférant celui réglementaire Non Discrimination. Pour l’afficher, d’ailleurs assise à côté d’Infantino dans la tribune, Nancy Faeser, ministre allemande de l’Intérieur. Sur le terrain, les joueurs de l’équipe nationale entraînés par Flick se sont couvert la bouche avec les mains lors de la photo officielle, tandis que sur les réseaux sociaux la DFB a précisé sa dissidence : « Nous refuser le brassard, c’est nous priver d’une voix ».

Les premiers choix : Havertz avant-centre, le Japon surprend. Faute d’un vrai 9, Flick choisit le joueur de Chelsea, qui a tenu ce rôle à plusieurs reprises dans sa carrière, comme ailier offensif. En effet, l’Allemagne prend le terrain avec un 3-2-4-1 très offensif. Surprises dans la formation japonaise : les stars Tomiyasu et Minamino restent sur le banc.

Gungodan signe le 1-0 à la mi-temps. Première mi-temps presque à sens unique dans tout sauf le résultat. Le Japon a commencé fort et a même pris les devants en huitième, mais le but de Maeda a clairement été entaché d’une position irrégulière. Une fois la peur passée, l’Allemagne se réveille, que le seul autre risque dans la première fraction sera avec Itakura. A la 17e minute, Rudiger frôle le but de la tête, puis Gundogan fait chauffer les moteurs à distance. Bravo Gonda, le gardien japonais s’est montré beaucoup moins attentif dans la demi-heure : une avalanche s’est abattue sur Raum, rattrapé dans la surface de réparation par Kimmich, pas de doute pour l’arbitre salvadorien Barton. C’est Gundogan qui s’occupe du pénitencier, qui le réalise sans difficulté. Trouvé l’avantage, les Allemands cherchent mais ne trouvent pas de bis. L’occasion la plus nette, juste avant le double coup de sifflet, est un tap-in réellement effectué par Havertz, en position de hors-jeu.

L’incroyable retour du samouraï. La deuxième mi-temps commence par un changement dans le onze japonais : Kubo sort, Tomiyasu entre pour trouver plus d’équilibre. Mission passablement réussie : l’équipe nationale du Soleil Levant change d’attitude, mais les principales opportunités sont toujours allemandes. Gnabry fracasse la transversale en début de seconde mi-temps, Gundogan passe tout près de marquer un doublé mais trouve le poteau à l’heure de jeu. Le spectacle allemand continue, mais le rappel n’arrive pas : grâce aussi à Gonda, qui avec une série d’arrêts, notamment sur Hofmann et Gnabry, rachète la sortie d’avalanche valant le premier but des adversaires. À la 73e minute, il répond comme un phénomène comme Neuer, de deux pas sur Ito dans les premiers échecs du match de Rudiger. A la seconde pourtant, le Japon passe : action de Minamino du gauche, Neuer joue la frappe sur laquelle repose Doan, qui marque le nul. Et ce n’est pas tout : à sept minutes de la quatre-vingt-dixième, voici l’impondérable. Asano a évité Schlotterbeck, tirant une bordée à bout portant qui s’est glissée sous la barre transversale. Il le ramène Prolongation TMW

L’AVIS DE CICCIO GRAZIANI

Graziani n’est pas d’accord : « Si vous pensez que la Fiorentina peut se battre à partir de la septième place, vous êtes hors piste »

4.7/5 - (27 votes)

Laisser un commentaire